Le traitement plus équitable des collaborateurs, comme conséquence de l’intégration de l’IA, signifie que les décisions liées au recrutement, à l’évaluation, à la formation ou à la promotion peuvent s’appuyer sur des critères objectifs et standardisés, réduisant ainsi l’influence des biais humains conscients ou inconscients. Positivement, cela favorise la transparence, renforce la confiance et contribue à instaurer une culture d’égalité des chances. Toutefois, ce progrès peut aussi avoir un revers : si les données ou les modèles utilisés contiennent déjà des biais, l’IA risque de les reproduire, voire de les amplifier, donnant l’illusion d’une neutralité qui n’existe pas. Pour l’entreprise, l’enjeu est donc de combiner l’objectivité algorithmique avec une vigilance humaine permanente, afin que l’IA serve réellement l’équité et la diversité.