En combinant hausse de productivité, réduction de coûts et amélioration de la qualité, l’IA aboutit inévitablement à une augmentation de la rentabilité pour les organisations qui la déploient efficacement.
Les gains marginaux apportés à chaque étape (production, support, distribution) s’additionnent pour améliorer les marges bénéficiaires. D’après une étude Salesforce, 86 % des PME utilisant déjà l’IA constatent une amélioration de leurs marges opérationnelles (salesforce.com).
Ces gains proviennent par exemple de la réduction des pertes (défauts, surstocks), de l’optimisation de l’allocation des capitaux, ou de la croissance du chiffre d’affaires sans augmentation proportionnelle des coûts (effet d’échelle permis par l’automatisation).
Dans les services financiers, on observe ainsi des banques en ligne très automatisées afficher des coefficients d’exploitation nettement inférieurs à ceux des banques traditionnelles. Attention cependant, il est à noter qu’investir dans l’IA représente un coût initial (logiciels, infrastructure, formation).
En somme, l’IA, lorsqu’elle est bien intégrée, agit comme un levier de profitabilité, permettant de dégager plus de résultat pour un niveau d’activité donné. Cela peut être réinvesti pour accélérer la croissance, ce qui crée un cercle vertueux de performance.