Les systèmes d’IA, notamment les modèles d’apprentissage profond, consomment beaucoup d’électricité. Cette consommation est liée à la puissance de calcul nécessaire pour entraîner et faire fonctionner les modèles, mais aussi aux infrastructures de stockage et de transmission des données.
L’augmentation du recours à l’IA dans les entreprises, les services publics ou les objets connectés accroît donc la demande énergétique globale. Cette réalité oblige à intégrer des critères d’efficience énergétique dans la conception et le déploiement des technologies d’IA, sous peine d’aggraver l’empreinte environnementale du numérique.