Risque de surveillance augmentée

L’utilisation de l’IA facilite une surveillance de masse potentielle. Au travail, certains outils permettent de suivre à la trace l’activité des employés (captures d’écran, analyse des communications).

Dans l’espace public, caméras intelligentes et reconnaissance faciale font craindre un suivi permanent des individus, portant atteinte à la vie privée. L’ONU a d’ailleurs réclamé un moratoire sur la reconnaissance faciale en temps réel en raison des risques pour les droits humains.

Il y a un équilibre à trouver entre sécurité et respect des libertés : sans encadrement éthique et légal, l’IA pourrait conduire à un scénario de “Big Brother” numérique, où la liberté individuelle est érodée par l’œil des algorithmes.